étrange arrivant

Une étrange femme arriva dans l’auberge, elle portait une cape mauve et une robe elfique dorée, elle avait les cheveux argent sombre, ses yeux étaient si pâles qu’ils semblèrent d’un gris violacé, dans ses bras elle portait une couverte rouge, dans celle si ce trouvait un bébé. Elle marcha d’un pas volontaire mais on pouvais y discerné de la fatigue dans ses mouvements, elle ne remarqua pas tout ce monde et s’assis a une table. Elle déposa le bébé avec douceur sur la table et entrepris de le débarrasser de sa couverte. Le jeune poupon avait à peine 2 mois, il avait les cheveux d’un blond doré, quand il ouvrit ses yeux on pu voir qu’il les avait d’un bleu ciel, il avait aussi de toutes petites oreilles d’elfes. Emmyelle retira sa cape et la déposa sur la table, on y pu voir qu’elle aussi était une elfe, un de ses doigt avait une bague, ce qui laissai présager un éventuelle mariage, elle avait aussi une sorte de liane fait en cicatrice, on aurais dit qu’elle avait été brûler avec quelque chose qui avait une forme de plante grimpante. Elle portais a sa gauche une épée longue dans un fourreau, ce fourreau était rempli de glyphes elfiques, tout ceux qui savent lire l’elfique purent lire cette épée protège Emmyelle, par la puissance du Dieu du savoir et de la sagesse. Elle regarda enfin tous les autres qui étaient la, elle eux une surprise quand elle vit un ange.

-qu..qui êtes vous?

ariel répondi a la jeune fée qui lui demanda son nom. elle étais heureuse quand si peu de temps elle avait put rencontré autent de gens. elle n'avait pas l'habiude de parler au gens car il la regardait tous bizarrement et ne lui adressait jamais plus que deux ou trois phrase.elle se dit que c'étais une très belle journée et une charmente aventure qui déarrais.

-je me nomme ariel asir. mais vous comment vous nomez-vous?

puis le fafadet répondit lui aussi a la jeune fée mais quand il eu fini il lui dit ecore des chose ma fois très touchante mais qui la mettais mal a laise. ces joue pale prirent un tien roser mais personne ne put en porter plus attention une jeune femme avec un enfan entra dans l'auberge. ''mais qui peu bien être cette jeune femme et pourquoi est-elle seul avec son enfant?''se demanda-t-elle. elle avait l'air si fatiguer. en entrant elle ne les remarqua pas mais elle fini par s'appersevoir de leur présence ces là que ariel lui demanda si sa allait.

-est-ce que sa va madame?

Lor’themar remarqua assez rapidement l’elfe qui venait d’arriver, son fourreau couvert de rune elfique lui indiqua quelque information sûr cette dame qui venait d’entré, mais rien de plus que la base. Son nom ainsi que la divinité qu’elle priait. Il s’approcha de l’elfe et lui demanda quelque chose dans sa langue natale, l’elfique.

(elfique)-que fait donc une elfe avec son enfant dans une taverne humaine?(elfique)

Ensuite, il remarqua l’ange et commença à bégayer. Il lu demanda toujours en elfique.

(elfique)-es-ce que ça vas? Ah et pour répondre à votre question, même si elle ne m’était pas adresser, lui c’est un ange de la mort.(elfique)

dit-il en pointent l’anges.

Voyant que l’action c’était déplacé vers une elfe, Siméon avança quelque peu vers elle. Suite au dire et au mouvement de Tor’themar, Siméon alla vers lui et la femme elfe. Il sourit à Tor’themar puis dit à l’intention de l’elfe :

Je me nomme Siméon et, en effet, je suis un ange de la mort. Serviteur de la grande déesse de la mort. Bien qu’il y est beaucoup de mots « méchant dans mon titre, je ne le suis pas pour autant. Malgré ce que l’ont pourrait croire, les anges de la mort ne sont pas du tout méchant. Ils ne font qu’escorter les âmes des trépassés au monde qu’ils méritent. Et quand ils ont du temps libre, ils peuvent voyager et apprendre plus sur les races ou sur l’évolutions des vivants. Ils peuvent aussi les aider. Mais aujourd’hui c’est plus le contraire. Je vais me faire aider.

Emmyelle restas abasourdie quand une femme renard lui adressa la parole. Elle tourna la tête et la regarda dans les yeux, puis un elfe lui parla en elfique et elle resta muette, il y avait donc des elfes qui avaient survécu aux feux et aux maladies qui s’y abattaient. Quand l’ange de la mort s’approcha ce fut le comble elle resta là, la mâchoire pendu dans le vide, elle referma sa bouche et ramenas le bébé près d’elle, elle promenas son regard sur tout le monde. Elle ouvrit timidement la bouche.

-vous êtes tous bizarre et oui moi je vais bien.

Elle regard le bébé et l’homme qui lui avait parler en elfique. Ils croyaient tous que cet enfant était le siens, elle ce rappelas comment elle l’avait trouvé et tout les horreurs qu’elle avait vu. Elle prit son courage a deux mains et leurs expliqua avec une voie dont la douceur était celle qu’on utilise pour expliqué quelque chose de compliqué a un enfant.

-ce n’est pas mon enfant, je suis Emmyelle fille de Xahen et fille de Mayanne, je suis la fiancée de Daîko. Je suis parti de mon village car je voulais connaître l’aventure, alors je suis partis, après une semaine de voyage, je suis arrivé au petit village de Maîkas

Elle fit une pause et une larme roula sur sa joue, puis elle continua

-il était en feu et j’entendit des pleures. Je continua de marcher tout en cherchant d’où venait les pleures. Je vis un panier et il y avait ce bébé à l’intérieur et depuis ce temps je me promène avec ce bébé, depuis une semaine déjà.

Elle prit un ton enjoué et essuya la larme qui était rendu sur ses lèvres.

-Avez-vous d’autre question? Ha et précision je parle d’autres langue que l’elfique.

Lor’themar fut surpris des dire de l’ange, rare était s’eut qui comprenait l’elfique et n’était pas eux même en partie elfique ou ayant vécue un long moment avec des elfe. Il regarda ensuite la dame, qui les trouvait tous bizarre. Bizarre, pourquoi serait-il bizarre?

-j’ai parlé en elfique pour être certain que vous pourriez me comprendre, étant vous même une elfe, il était certain que vous comprendriez mes mots. Certain elfe, ne parle aucune autres langue que l’elfique.

Puis il comprit enfin les dire de la dame, au qu’elle il n’avait pas fait attention, s’eut traitent du village elfique brûler.

-vous dites que vous avez trouver un village elfe brûler?

Il eu soudain une pensé pour ça mère…il ne l’avait pas vue depuis des siècle. Lune d’argent avait-elle été brûler elle aussi?

-savez vous si une grande ville du nom de Lune d’argent à été brûler elle aussi?

Emmyelle regarda le demi elfe avec curiosité, il parlais elfique mais avait l’air seulement en parti, il avait des traits humains, quand il eu fini de parler elle lui sourie et lui parla doucement

-non ce village n’a pas brûlé, et si vous avez vécu longtemps dans un village elfique vous sauriez que beaucoup parle 3 langues, la langue dite commune, la langue elfique et le langage de la nature.

Elle arrêta un moment et reposa le bébé sur la table. Elle ce demandait comment elle allait le faire manger, et comment lui trouvé un nom.

-auriez vous des idées de noms masculins? Je ne lui ai toujours pas donner de nom.

Flore décida d'Aller plus loin et de ne pas se mêler de se qui se passait alors il alla plus loin dans le fond de l'auberge toujours en trainant la chaise.Il la releva pour la placer correctement , sortie son livre et son petit crayon vert.Il ouvrit son livre et le mis sur la chaise et commenca a faire des criboullie et a écrire se qui c'était passé biensure juste lui pouvait comprendre sa propre écrite qui était du N'importe quoi.

Après avoir compléter environ une page il tourna la page et de mis a dessiner, a plusieur reprise et déchirai la page en lanca un petit grognement entre ses dents et recommenca. Après plusieur minutes d'esseye et arracha la page mais ne la chiffona pas.

Réussie!!!!!!

Il pliat la feuille en 4 et la mis dans sa poche et recommenca a écrire par la suite.

-Lune d’argent n’est pas n’importe là qu'elle des cité elfique. Elle c’est recluse de tout contacte avec le monde extérieur, il ce sont coupée de la nature pour vivre dans le luxe et la magie. Là-bas, personne ne parle autre chose que le commun et toute personne non-elfe y est tuer à vue! Pour ce qui est du nom…hum j’ai peut-être une idée. Pourquoi ne pas le nommer du nom du village ou vous l’avez trouver ou même du nom de votre père ou d’un homme que vous respectez.

Lor’themar regarda la chose fluorescente partire plus loin dans son petit coin, il la trouvait de plus en plus étrange.

Trouvant la situation peu à son goût, il décida de partir, non sans prévenir. Il avait beaucoup de recherche à faire. Il devait chercher des informations pour trouver la porte des enfers, des informations pour savoir comment l’ouvrir. Il aurait pu y aller seul mais il y avait beaucoup de chance qu’il n’en revienne pas. Il devait absolument trouver comment faire passer ses compagnons mortels sans les tuer. Ils lui étaient d’une grande aide.

Tout cela est bien beau mais je dois faire quelque recherche à la bibliothèque du paradis. Je trouverai plus d’information pour tous nous faire passe dans l’autre monde sans problème majeur comme la mort. Je vous rejoindrais quand j’aurais fini... et je saurai ou vous serez, on voit très bien de là haut.

Sur ce, et s’il ne se faisait pas arrêter, il passa la porte de l’auberge et disparut tout en sortant. (Cette dernière action ne se faisant que si rien de majeur ne se passe dans les secondes que durerais son chemin vers la sortie.)

Féféllia decida d'aller voir le petit enfant. Elle constata qu'il était tres jolie mais quand elle voya le petit fafadet et le suiva discretement. Elle vois que le fafadet s'etait assi alors elle deciada de s'asoir et demanda:

- Quesque vous faites petit flore ? Pouvais me montrer sil vous plais ?(Elle le disa avec une tres petite voix) Humm vous avez je suis tres petite aussi je dis cela parce que vous etez petit aussi .Desoler je suis un peu nerveuse ,abituellement je suis tres maladroite quand je renconte une personne..

Ses pomette devienne rouge comme des pomme.Elle arretta pas de le regarder et quelque minute apres elle tomba de la chaise..

- AHHHHH!

Féféllia etait complement gener et se demandait flore l'avais vu ou tout simplement ecouter..Elle resta la sous la table en n'atenda que les personnes oublise quelle etait la... Elle voya que son ange partais.. mais ne pouvas rien faire pour le retenir parqu'il etait deja parti...

Flore continua d'écrire et quand Il attendit un voix il déposa son crayon et se retourna toujours avec son sourire.Il regarda la féefafadette de la tête j'usquau pied en effet elle était petite comme lui , Flore était habituer d,être le plus petit car il était le plus petit de son village et maintenant et avait une personne de sa taille.

Flore sauta de sa chaise et remarqua qu'elle avait aussi des ailes mes très différente de seux de l'autre homme.A se moment la Elle tomba de sa chaise.Flore se mis a rire pendant quelque seconde et arreta.Il se pencha en dessous de la table pour pouvoir la voir et répondit a sa question.

J'était en train d'écrire et de déssiner.

Ensuite il voulu se relever mais se cogna la tête contre la table, il mit ses deux main sur sa tête.

Haaaa aiiiie!!! encore toi!!.

Il alla près de la chaise qui était attacher a son poignet et se mis a lui donner des coups de pied.Mais quand il c'était cogner la tête son livre était tomber par terre près de la féefafadette et on pouvait voir que dans le livre il y avait toute sorte de dessins et d'écriture sembable au humain mais remplie de faute et des mots qui n'était pas a leur place ou très mal écrit et on pouvait rien comprendre.

ariel regarda un instent les deux fafadets. puis asseya de comprendre ce que le demi-elfe pouvait bien dire a cette elfe qui venait d'arriver. masi c'étais pour elle une langue inconnue et ne comprit rien jusqu'a ce qui ils se mettes a parler une langue qu'elle reconnaissait bien. l'ange partie de l'auberge elle le regarde franchire la porte et soufla entre ses douce lèvre. " bonne chance". la jeune femme elfe leur demanda une idée de nom pour cette enfant si jeune. elle réfléchie quelque instent mais le demi elfe la dévenca. elle du avouer que ces idée etais très bonne et puis elle n'étais aps de sa race peut-être aurrait-elle pas aimer ces idée. elle alla prendre un chase au comptoir et regarda pour voir si il n'y avais pas un jeu de dée quelque par. elle se maudissait des avoir oublier. peu importe elle en ajèeras de nouveau ou avent de commencer cette aventure devrait-elle passer cher elle pour faire ces affaire elle y réfléchissait.

Féféllia vu que le petit Flore l'avait vu tomber de la chaine et qui avais par la suite ri delle. alors Féféllia trouvais sa drole d'elle meme alors elle ricanna et un instemps apres il se pencha en dessous de la table et lui repondi a sa question et apres quelque seconde il decida de se remettre en place mais il acrocha la table et commenca a se frustrer contre cette pauvre table.

- ha ha ha ! quesque tu fais peit Flore ? Pourquoi masacre tu cette table?

Telement qu'elle riait elle manquait de soufle mais quelque chose d'autre la distrella. Le livre de peit Flore était tombé juste accoter d'elle grand ouvert. Féféllia vu des barboulli qui voulu probablement dire quelque chose de tres interresent..

- PETIT FLORE que veut dire ses ecriture que tu ecrit dans ton livre? aurais-tu fais des dessin par hassar ? C'est tres jolie !!

Féféllia pensais vraiment ques qu'elle disait .Elle trouvait ses barboulli tres tres jolie et signifiquatif..

Lucky entra dans l'auberge. Il était parvenu a trouvé ce village après quelques heures de vol au-dessus des terres. Il avait bien entendu atteri à l'écart du village et caché soigneusement ses ailes sous sa belle cape bleu royale. Les paysans avaient murmuré sur son passage de son élégance et en appréciait chaque mots.

Ceux présents pouvaient voir qu'il portait une cuirasse, des morceaux d'armure qui recouvraient ses avant-bras et ses jambes, qu'il portait des vêtements bleu pâle (se raprochant de la couleur du ciel), sa cape bleu royale, une lance, un bouclier et une épée attachée à son fourreau.

Il avait trouvé cet endroit grâce aux bruits qui s'en dégageait. Nul doute pour lui, il pourrait sans doute joué ici et peut-être bien courtiser quelques jolies dames.

Il regarda une première fois les environs et vu qu'il n'y avait pas de joueurs encore. Il alla s'asseoir à une table vide. Il déposa sa lance et son bouclier pour qu'ils soient tous 2 accoté sur la table. Il sortit des dés et joua avec. Avec de la chance, un joueur se présenterait bien à lui. Avec plus de chance, sa serait une dame.

ariel vit cette homme éllégant rentrée dans l'auberge. elle se demanda si il avait entendu dire ce qui venait de ce passer ou si il avait remarquer qu'il n'y avait plus personne. qui viendrais quand il ne reste casiemnt plus personne et plus d'aubergiste. surtout quand un dieu ou déesse vien de faire son aparition. ils déssidaa de sasoir a lécar comme si de rien n'étais et de sortir des dé. '' quoi ! des dés, je n'allucine pas des dés! mais qui est ce?''. elle se levas directement et alla le rejouindre avec ces yeux d'or elle le regarda etr dit en prenan un chaise.

- je ne vous dérenge pas j'espère, puis-je? j'ai remarquer ces charmant dé et je voullait savoir se que vous aviez l'intention dans faire. une partie sa vous dirrais vous avez l'air de quelqu'un qui ne faut pas défier.

elle se mit confortablement en attendant sa réponce. elle étais exiter a l'idée de pouvoir enfin s'auser a son jeu préférer, les dés.

Lucky fit un très grand sourrire à la dame qui venait de lui parler. La chance lui sourriait belle et bien. Il se rendit compte aussi qu'il n'y avait pas autant de bruit finalement. Il devait être plongé dans des souvenirs. Il n'avait rien entendu de ce qui ,était passé avant qu'il arrive. C'était un ange, pas un dieu...

Il releva la tête et fit un examen complet de la demoiselle en question. Elle-même pouvait voir qu'il avait des traits fins, des dents pratiquement trop blanche, les cheveux bruns et les yeux bruns. Il était musclé mais pas trop. Suffisament pour lui donner un physique qui a fait craquer plusieurs dames. Il dit:

-Faites donc ma chère. J'attendais justement qu'une personne s'assoye pour me lancer un défi. Peut-être la chance vous sourrira t'elle.

Les dés qu'il utilisait n'était point truqué. Il les tendits a la dame.

-Bien que je ne connaisse point votre nom, je puis déjà affirmer qu'il doit réfléchir la splendeur et la beauté que vous dégagé vous-même.

ariel prit les dés que le charmant monsieur lui tendi. elle le regarda et dit avec un sourir taquin au lèvre, il put voir ces deux petite dent pointue mais bien blanche. ces orreille de renardeétais maintenant toute lever et sa queue bougait en totu sens, exiter par li'idée qu'elle allait enfin samuser.

-vous connaicez le jeu de 7 alors jouons-si.

puis elle prit un des deux dés et le brassa délicatement dans sa main a la peau paleet fine. elle espéras que sa déesse l'accompagnait en se momment et d'un geste souple lancale dé sur la table il roulla deux ou trois fois sur lui même avent d'arreter sur un chiffre.

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Déçu de ne pas avoir connu le nom de la belle jeune dame mi-animale, il prit un dé lui aussi et le lança. En le lançant il dit:

-Voyons qui sera le plus chanceux belle dame.

Pendant que le dé tombait sur la table et roulait, l'excitation de Lucky avait monté d'un cran. Les 2 choses qu'il préférait étaient réunnis à cette table : le jeu et les femmes.

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ariel écouta le jeune homme. elle aimait beaucoup les jeux de dé et de asard. comme s'étais exitant. elle vue que son dé fu 1. elle ri d'un rire cristalin et le regarda dans les yeu en preant un autre dé.

-et bien mon cher monsieur, on dirait bien que c'est moi en se mommen^t. mais je repiges. je vais tenter le tout pour le tout comme on dit.

elle prit le dé et le rebrassa encore finement comme le coup présisement. elle resouhaita que sadéesse l'acompagne s'étais un coup définitif. elle fit un geste délant et pour relancer les dés. voyon voir ce que sa allait donner. encore un fois il roulla quelque coup avent de montre son nombre.

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Il écouta la dame et la revit jouée. Elle avait brassé trop haut. Elle n'avait pas de chance cette fois-ci. Il ria et dit:

-Chère demoiselle, vous manquez de chance on dirait. Après que j'aies gagné cette partie j'aimerais bien que vous me disiez votre nom. Je décide de ne pas rebrasser et de brasser celui qui me reste.

Il brassa le dé qui lui restait. Aucune malchance ne pouvait le faire perdre.

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