forge

Lor’themar tourna lentement ça tête vers l’étrange petite fille ce trouvant devant lui. il la regarda des pied à la tête. Il était certain qu’elle n’était pas humaine. Ça voix ne lui fit aucun effets. Il en avait entendu d’autre d’ou il venait. Il lui semblait soudainement que cette contré était fortement peuplé de créature mi animal mi homme. Cette femme renarde, un autre homme animal et cette fois si celle-si.

-nous somme dans une forge, je croit que c’est très visible non.

Il lui fit un grand sourire qui ne voulait rien dire de bon, il parlait toujours d’un ton froid mais cette fois si, il semblait aussi moqueur. Ces yeux brillait d’une lueur étrange et quelque peu mauvaise tout en gardent une certaine lueur innocente. Bien sûr, il était bien visible que cette innocence n’Était plus depuis des lieux à la manière d’on il agissait. Même pou un elfe, 200 ans pouvait paraître fort long, sûr tout l’or-ce que vous avez été bannie pendent la moitié de ce temps.

-vous demander à un demie-elfe votre chemin sûr une terre humaine, trouver la chose illogique dans ce petit résumer. Je ne connaît pas plus cette terre, je ne suis que de passage comme la plupart d’entre vous.

Son ton était un cran moins froid mais toujours moqueur avec ce sourire mauvais qui laissait dire qu’Il ce moquait bien d’elle.

Elvira contente de sa réponse sans tout de même avoir plus confiance en cette homme. Elle se demandais maintenant qu'elle était le nom de cette homme, son sourire enchanteur prouvait bien que maintenant elle se sentait un peu moins perdu:

- Mais sans vouloir être indiscrète qu'elle est votre nom cher étranger?

puis elle s'arrêta. Elle se demanda si il connaissait quelqun qui pourrait l'aider a se retrouver elle lui posa la question:

- Mais puisque vous n'avez pas répondu a ma deuxieme question connaitriez-vous quelqun qui puisse y répondre?

Suite à ça deuxième question, il parut vraiment désespéré, il regarda tour à tour la jeune femme puis les forgeron.

-êtes vous sérieuse quand vous me poser cette question?

Il avait reprit son ton froid et sans émotion, il n’aimait vraiment pas avoir l’impression que l’ont riait de lui. il lui demandait alors qu’elle ce trouvait devant un forgeron local donc un habitant de ces terre. Vraiment elle était pitoyable, comment pouvait-on avoir si peu d’intelligence et de logique.

-pour ce qui est de mon nom, vous auriez sûrement beaucoup de misère à le prononcer celui si étant en elfique. De plus, il me semble qu’avant de demander son nom à une personne, il est de mise de ce présenter en premier. Or, je ne sait point qui vous êtes moi même.

Face a cette homme Elvira commenca a se sentir stupide. Cette homme qui avait tant de sagesse . Mais cependant il ne savait pas parler au femme elle se présenta tout de meme:

- Suite a votre requête je me présente. Je suis Elvira de la race des hommes-chat. Si vous me dites que j,aurais du mal a prononcer votre nom je ne vous le redemenderai pas alors.

Elle s'arrêta puis souris. Puisqu'elle n'avait plus grand chose a faire ici elle se mit en marche a la recherche d'un nouvel endroit ou allez posé sa question puisque décidémment il n'y aviat personne d'assez compétent pour lui répondre.
puis elle cria dos au monde en marchant:

- Au revoir cher inconnu!

l'homme se demendais pourquois le forgeron souriait ainsi et pourquois il navait pas esseyer de marchander avec lui mais comme barthélému n'était pas très méfiant il lui sourit a son tour et lui tendit la main de geste très amical et lui avec une voix d'homme sur de lui

- marcher conclut

donc il lui remit la somme de 150 pieces et prit ce qui lui revenait de droit
et ensuite il enfila sa nouvelle armure . cela lui prit un peu de temps car elle était fait de plusieur pièce. ensuite il mit osn ouclier et parti sur son cheval et s'enalai en direction du village pour trouver quelqu'un qui lui offrirai des provision pour son aventure. donc il parti au grand galot fière de sa nouvelle armure qui reflaitai la lumière du soleil. la cape dasn le vent

le forgeron voyant toute la scène et voyant la façon que l'homme traîta la femme il lui fit un regard dégouter. Il servi l'homme avec plaisir de lui donna ce qui lui revenait de droit, il venait de conclure une bonne affaire, il rangea l'argent dans son tablier et ce tourna versl'homme autain avec un fau sourire.

-que puis-je faire pour vous monsieur?

Lor’themar ce retourna vers le forgeron et le regarda dans les yeux. Vraiment, ces homme de plus en plus stupide avec les année. C’est rendu qu’Il lui fallait répéter deux fois ça commande avant qu’Il ne comprenne. Une chance qu’Il ne soit pas pressé ou que ce ne soit pas la fin du monde.

-comme je l’est dit quelque seconde plus tôt, je voudrais une armure de cuir légère ne gênent pas les mouvement.

Il n’avait même plus un sourire mauvais, il m’avait plus de sourire du tout. Il était froid comme un iceberg dans ces parole comme dans ces expression facial.

Lor’themar regarda l’armure et l’examina puis un peu mécontent donna les vingt pièce au forgeron. Il ne croyait pas vraiment au bien fondé de cette armure mais au moins elle lui sauverais peut-être quelque coups. Il l’enfila donc et laissa le marchand sans dire mots. Seul le son des vingt pièce qui cognait le bois put être entendu. Il devait ce dépêcher à rejoindre les autre avant qu’Il n’est trop d’avance. Avant tout, il devait aller voir s’Il était encore devant cette petite auberge.