Une auberge

Un homme enveloppé dans une grande cape noire entra dans l'auberge.
Un grand capuchon cachait en grande partie son visage.
Il alla s'asseoir tout au fond de l'auberge en adressant la parole à personne.
Il resta là plusieurs minutes en silence avant de prendre une pièce de sa bourse.
Il joua avec pendant quelques minutes. Il la faisait tournoyer entre ses longs doigts graciles et noirs.
Puis, il fît signe à l'aubergiste de s'approcher.
Il commanda un repas.

l'aubergiste remarqua l'entré du nouveau venu. il s'assi au comptoir, l'aubergiste n'y porta pas plsu attention continuent a servire des clian et a n'étoiller un verre. puis il remarqua que cette personne étais en trin de lui faire signe de venir quand il saprochait il remarqua la pièce dans sa main. sa main! elle étais noir s'étais.. s'étais nu drow! son coeur se mit a batte très vitte il dit:

-v..vous.. vous désirer quel..quelque chose monsieur? dit-il tout en bégailant. la sueur commencait a perlé le front de l'aubergiste et sais mian commenère a trambler.il attandait la réponse de son clien inhabituel.

Selvar leva les yeux vers l'homme et le fixa quelques secondes dans les yeux.
Il jugeait du regard cet humain.

Puis, il dit, d'une façon très calme:
-Veuillez m'apporter un repas digne pour un voyageur fatigué.
De la viande si possible.

Il rebaissa la tête et recommença à faire pivoter sa pièce dans sa main.
L'homme pouvait remarqué que celle-ci portait des bagues sculptées dans de l'os et serties de petits rubis.

l'aubergiste aquiessa et partie vitte répondre a la demande du drow. il n'avais pas l'air méchant mais qui sais peut-être jouait-il très bien son jeu. peu importe il déssida de ne pas provoquer les chose il alla donc lui chercher un repart constituer de viande pour lui offrire a manger. quelque minute plsu tard il revin avec sa demande. puis il lui dit:

-sa vous fe..feras 5 pièce d'or, monsieur.il avait peur que le drow se fache sur le fait qu'il le fasse payer mais il devait gagner son argent parreille alors il prit le dessu sur ses peurs et lui demanda quand même. il restat la a attendre la réaction du drow et son argent du. si le drow se fachait il y avait surment quelque bon fermier qui viendrais lui porter secour en cas de danger.

Selvar avait rabattu son capuchon sur son visage après le départ de l'aubergiste.
Il avait ensuite continuer de jouer avec sa pièce de monnaie.

Lorsque l'aubergiste était revenu, il commençait à être affamé. Cela fesait des jours qu'il n'avait pu déguster une pièce de viande, mais malgré cela, il conserva son attitude calme et posée.

Selvar lança sur la table la pièce avec laquelle il jouait. Elle rebondit quelques fois avant de s'immobiliser. Puis, tranquillement, il sortit de sa bourse quatre pièces supplémentaires qu'il déposa avec la première. Enfin, il les fit glisser vers l'aubergiste.

Puis, en regardant l'aubergiste dans les yeux, il dit:
-J'espère que ce sera bon, au prix que vous demander.

Il prit alors une gourde attachée à sa ceinture et but une gorgée avant de la déposer sur la table.

La porte de l'auberge s'ouvrit brusquement. Un personnage capuchonné se trouvait dans le cadre de porte. Aucun bout de peau n'était apparent sauf son visage qui pouvait être vu s'il ne serait pas caché par son capuchon. Tout le monde pouvait voir qu'il était plutot bien équipé en armes. 2 épées style cimeterre étaient dans leur fourreau respectif, un grand carquois en cuir noir descendait le long de l'une de ses jambes et un arc était accroché dans son dos. On ne pouvait rien voir de plus a cause d'un grand manteau noir qui cachait ce qui pouvait être en dessous. Il regarda le peut de gens présents et se décida d'aller s'asseoir dans un coin sombre. Il ne se souciait guère des gens qui pouvait murmurer sur son passage.

Lorsque l'aubergiste eût prit ses pièces, eût mis l'assiette devant Selvar et fût retournée derrière son comptoir, Selvar dirigea son attention vers son assiette.
Il l'observa pendant de longue minutes, fouillant avec sa cuillère et hûmant le fumet de la viande. Pour dire vrai, il cherchait à s'assurer que l'aubergiste n'avait pas dissimuler un quelconque poison dans le repas.
Satisfait, il déposa sa cuillère et attrapit la viande de ses longs doigts noirs pour la déchirer. Puis, il mangea, savourant chaque boucher de la viande.
Il mangea lentement, mais avec grand appétit.

Lorsqu'il arriva dans le coin le plus sombre, le mystérieux personnage s'assit à la table la plus proche. Il sortit d'une poche quelconque un morceau de viande fumée. Il ne faisait guère confiance à ses auberges. Beaucoup trop des siens étaient morts pour avoir porter un peu de confiance aux humains. Arrogants et méprisables, voilà tous ce que les humains représentaient pour lui. Dridz avait néanmoins soif. Il fit signe au petit aubergiste de venir. Il sortit de son haute main une pièce d'or et attendit.

Selvar, qui observait ses alentours tout en dégustant son morceau de viande qu'il trouvait plutôt savoureux, remarquât quelque peu le nouvel arrivant du coin de l'oeil. Il n'y prêtat que peu d'attention au départ.
Mais tout à coup, l'étranger sortit sa main pour offrir une pièce à l'aubergiste et Selvar remarqua l'étrangeté de la couleur de sa peau.
Selvar s'étouffa presque sous l'effet de la surprise.
De nombreuses questions débutèrent à tournoyer dans sa tête.
Qui était-il?
D'où venait-il.
Pourquoi était-il ici?
Il continuait de manger son repas, mais jetait régulièrement des coups d'oeil furtifs à l'homme en noir.

Selvar finit son repas.
L'homme noir l'intriguait.
Il devait savoir qui il était et pourquoi il était ici.
Cela ne pouvait pas être dû au hasard.

Selvar se décida donc à aller lui parler.
Il déposa ses ustensilles dans l'assiette et rattacha sa gourde à sa ceinture.
Il se leva, rajusta son capuchon sur sa tête, poussa sa chaise et se dirigea vers la table de l'homme tout habillé de noir, un peu comme lui-même.
Il se tenait prêt à dégaîner ses armes, juste au cas.

Il tira la chaise face à l'homme, puis s'assied.
Il s'appuya sur le dos de sa chaise, prenant une posture détendu, mais c'était plutôt dans le but de garder ses mains près de ses courtes épées.

Selvar dit:
«Que faites vous ici?»

Il regardait droit vers le visage de l'homme, ainsi, celui-ci pouvait voir son visage noir s'il le regardait en face.

Dridz s'était beaucoup impatienté pendant ce temps. Le serveur ne venait pas... Sa frustration envers les humains ne faisait que grandir. Lorsqu'il aperçu Selvar s'approcher il mit lui aussi une main prete a dégainer un de ses cimeterres. L'autre était resté sur la table, une dague de jet dépassant à peine d'une de ses manches. Il le vit s'asseoir et le fixer. Il savait très bien qu'il pouvait distinguer ses traits noirs. À ses mots, il frappa la table furieusement. Il s'exclamma d'un ton tout aussi furieux:

-J'attends pour avoir du service!!! Ces humains sont tellement idiots.

Une envie meurtrière passa dans ses yeux même si elle n'était pas destinée à Selvar.

Selvar s'étonna du tempéramment impulsif et violent et celui-ci le mis quelque peu sur les nerfs. Il y avait longtemps qu'il n'avait plus côtoyer un autre elf noir.

Selvar dit d'un ton beaucoup plus doux:
-Vous savez ce que je veux savoir, alors ne tournez pas autour du pot.

Selvar se pencha un peu vers l'avant et baissa encore le ton:
-Qu'est-ce qu'un elf noir comme vous fait dans cette région humaine?
Qu'est-ce qui vous amène ici?
Êtes-vous seul?

Une drow entra dans l’auberge, on peu voir qu’elle était jeune, mais dans la société des elfes noirs malgré l’age des femmes drow il restait que c’était une société matriarcale et que les hommes devait obéissance aveuglément aux femmes. La drow entra et s’assis a une table reculer, elle avait une grande cape mauve qui ne laissai pas voir aucun trait, on pu seulement deviner qu’il s’agissait d’une drow en regardant ses mains qui eux n’étaient pas couvert, et ce qui laissait croire qu’elle était une femme c’est a sa façon de marché et a sa présence autoritaire.

Dridz regarda l'elf noir dans les yeux. Il prit un sourire très sadique et lui dit:

-Je pourrais vous retourner les même questions vous ne croyez pas? Mais pour votre information, oui je suis seul.

Puis il vit la femme qui venait d'entrer. Non ce n'était pas une femme. Il vit ses mains, c'était une elfe noir! Quelle malchance! Il savait très bien que la société drow était une société matriarcale mais il savait aussi que si elle exercait son "autorité" elle allait devoir prouvée qu'elle méritait le statut de matronne. Il ne laisserait pas un être faible le controler.

Puis de plus en plus impatient, il prit une de ses dagues de lancer sur lui et la lanca a la hauteur des yeux d'un humain normal : e direction du comptoir de l,aubergiste. Il dit tres fort:

-Je veux boire j'ai dit!!!

Selvar supporta le regard de Bartuc, prêt à croire ses paroles, mais lorsque l'elfe noire entra, toute illusion s'envola. Il n'en connaissait pas la raison, mais les elfes noirs de son village était venu le chercher.
Selvar était visiblement nerveux.

Lorsque Bartuc dégaîna sa dague pour la lancer vers le comptoir, Selvar se leva en dégaîna ses deux épées courtes attachées à ses cuisses prêt à se défendre, croyant que la dague lui était destinée.
Il la suivit des yeux lorsqu'elle effectua son parcours pour aller se loger dans le comptoir.

Selvar sembla choqué de l'attitude de Bartuc.
Il se décida à parler ouvertement.
-Ne cachez plus votre jeu, pourquoi êtes-vous venu me chercher?
La présence de cette femme vous a trahi. Vous n'étiez pas seul!
Il y en a-t-il d'autres?

Dridz éclata d'un rire sonore. Ce drow commencait à le faire drolement rire. Bien entendu, il ignorait tout de lui comme de la femme. Il expliqua donc lentement mais à voix basse à ce drow qui avait l'air d'avoir reçu quelques coups sur la tête :

-Mon cher, si je serais venu vous chercher, cela aurait fait très longtemps que vous le sauriez. J'ignore totalement qui vous êtes ni qui est cette... (Il regarda la drow attentivement) délicieuse jeune dame. Pour le prouver, vous pouvez, si vous le voulez, me transpercer un bras d'une de vos lames. La douleur ne m'effrait aucunement. Cependant, je dois dire que normalement c'est moi qui la cause mais je suis bien pret à faire une exception. Sinon, je vais vous demander d'écarter légèrement vos armes pour que je puisse aller m'enquérir des intentions et de la dignité de notre... hum... si jolie compatriote.

Il regardait Selvar droit dans les yeux. Son regard se voulait pénétrant. Rien de surprenant venant d'un chasseur en fait...

Selvar abaissa ses armes, mais continua de les tenir fermement.

-Très bien. Peut-être dites-vous vrai. Seulement, je trouve étrange que trois elfs noirs se retrouvent par hasard (il insista sur ce mot) dans la même auberge dans un village d'humain. Allons donc rencontrer cette dame, peut-être nous en apprendra t'elle plus.

Il attendit la réponse de Bartuc, mais était prêt à le suivre pour rencontrer la dame mystérieuse.

La porte de l'auberge s'ouvrit comme si ou bourrasque digne d'une puissante tornade venait juste de la frapper. tout ceux qui prirent la peine de tourner leurs regards sur la porte, n'y virent rien a première vue mais quand ils baissairent les yeux, un petit halfling pénétra la salle et se dirrigea d'un pas ferme vers un table libre. En passant près des drow il ne put s'empecher de s'arrêter, les regarder et éclater d'un rire sonore. En finissant le chemin qui le séparait de sa table il dit tout haut pour lui-même

Diantre qu'il est laid, on dirait le cu de ma chevre! hahaha

Il s'assie et hela au et fort l'auberge pour une pinte de sa meilleur bière!

Bartuc eu un sourire sadique lorsque le halfling se moqua de lui. Il regarda Selvar et dit calmement et simplement:

-Après vous.

Mais il sa leva et lui emboita le pas pour passer premier. Ceoendant, d'un geste de la main il saisit une de ses dagues sur lui et la lanca vers le halfling. Elle se planta sur la table non loin de son torse en face de lui. Il n'avait pas à parler, il savait qu'il comprendrait le message. Il se dirigea vers la femme drow.

Lorsque la dague passa près du petit être et alla se planter dans la table, le petit être eu un sourir des plus cruel et retira la dague de la table. Il la soupesa quelque seconde et sans prévenir, la lanca dans les air, l'attrapa par la lame et la relanca a son gentil propiétaire. Quel chaleureus intention il avait eu de lui donner une dague mais il n'en avait besoin, Elle siffla devant l'elfe et alla se planter dans une poutre non loin.

Sans meme prendre la peine de regarder, il dit avec un ton arrogant et baveux,

BAH, j'aime mieux les miennes elle sont plus belle! Et, en plus, les tiennes sentent la merde! Tu ressemble définitivement à ma chèvre hahahahaha!!!

Selvar suivit Bartuc pour rencontrer la dame.
Lorsque le halflin les avait insulté, il l'avait regardé d'un regard méprisant, mais avait su garder son calme. Une insulte n'était pas une raison valable pour faire le don sacré de la mort.
Lorsqu'il vu la dague volé, puis revenir, il sursauta un peu, mais n'y porta pas une grande attention. Si l'autre elf désirait en finir avec cet arrogant, libre à lui.

En arrivant près de la dame, il retira son capuchon et se courba vers l'avant pour la saluer.

Dridz sourit lorsqu'il vit la dague repasser. Quel être faible!! se dit-il. Il n'en vaut pas la peine. Il alla chercher sa dague silencieusement et rapidement. Ensuite il alla vers la dame mais de l'autre coté d'elle ; pour être en face de Selvar. Il n'avait confiance en personne et cette impression il la dégageait pleinement et totalement. Il regarda la femme scrupuleusement. Il se demandait bien si elle pouvait être armée...

la jeune drow ne regarda pas quand le halfeling entra et elle regarda encore moins quand ils "s'échangèrent" le poignard. Quand Dridz vint vers elle, elle ne broncha pas mais le regardai avec mépris comme s'il eu été une mouche dans sa soupe ou une petite créature que l'on s'apprêtait a écraser si facilement. Elle venait le cherché effectivement, elle sorti une épée longue et d'une blancheur a en faire pâlir et elle la mit sous la gorge de Dridz sans qu'il eu pu faire le moindre geste et une autre sous la gorge de Selvar. A la vitesse de l’éclair, elle jeta un poignard qui était attaché a sa botte près de l’halfeling mais ne lui toucha pas. Dridz pu voir le magnifique mais très cruel visage d’une jeune fille avec qui il avait appris le métier d’assassin, cette jeune femme était devenu plus doué que Dridz et était sa plus sérieuse concurrente, elle avait été très en colère quand elle avait su que Dridz était meilleur qu’elle et encore plus car il était un mâle. Puis elle s’adressa a Dridz avec une voie empreint de méchanceté et de snobisme.

- alors tu croyait m’échapper sale vermine ?

Selvar fut surpris de la réaction de l'elfe. Pris de court pendant qu'il la saluait, il n'avait pas pu se dérober.
Ses yeux s'attardèrent sur la lame pointée sur sa gorge.
Question après question défilèrent dans sa tête. Sa maîtresse avait-elle juger que le moment était venu pour lui de la rejoindre? Si tel était le cas, il accèpterait cette décision.
Il reste donc immobile, les yeux fixées sur la lame, philosophant interieurement sur sa propre mort pendant la discution des deux autres elfes.

La petite créature ramasssa la dague, l'inspecta et la soupesa. Il la fit torner dans sans main pour ensuite l'envoyer virevolter dans les air et la rattraper habillement. Avec un petit air joyeux mais surtout baveux, il dit :

Eh bien merci! Je l'aime bien, très gentil de votre part..heu..vous la peut-importe ce que vous etes!

Il se retourna en glissant la dague dans une de ses 1001 cachettes et elle disparu dans ses vetements. Las d'attendre il hela l'aubergiste pour sa bière avec un ton saturé par l'impatience!

Et cette pinte, ca vien ou pas?!!!!

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